Je crois que toute ma vie je me demanderais pourquoi elle me manque tant !
Depuis que notre amitié est fini çà fait plus de 2 ans maintenant, je sais que je peux partager avec vous mes amis des blogs mais çà n’est pas pareil j’ai beaucoup de mal à dire ce que je ressens, je pleure en écrivant, j’ai beaucoup pleuré aujourd’hui… encore et toujours je pleure à chaque fois que je suis contrariée, la vie n’est pas simple mais il y a plus malheureux seulement ma vie a changé, j’ai peur de tout j’ai peur de perdre un être cher, j’ai peur de parler et de dire des choses qui font mal, j’ai peur quand mon fils va faire la fête, quand mes tripes me font mal, j’ai tellement vécu l’erreur une fois de m’être trompée d’avoir dit la vérité que maintenant je ne sais plus parler je ne peux plus faire un pas en avant quand il faut faire connaissance avec d’autres personnes… et si je disais une bêtise!!! J’écris ce soir car j’en ai besoin je suis pas bien, j’aimerai jeter tout se qui se trouve sur mon bureau ainsi que cet ordi … J’ai encore peur de faire du mal à mes amis et à moi-même, j’écris parce qu’une personne des blogs m’a dit un jour qu’il fallait écrire que çà faisait du bien et ensuite bruler le papier … alors je devrais bruler cet écran et je serais peut être en paix! je sais plus je vais me coucher je vais essayer de dormir et surtout ne pas pleurer, si je pleure j’aurai les yeux gonflés demain et je ne veux pas qu’on me voit comme çà alors je vais boire une tisane pour dormir çà me calmera et je dormirais mieux j’espère…
Protégé : Elle savait pourtant…
Publié 16 juin 2011 dans Liens Saisissez votre mot de passe pour accéder aux commentaires.
Il est passé… et oui au revoir … à l’année prochaine
Publié 26 décembre 2010 dans Liens 0 Commentaires
CLIQUES SUR LA COLOMBE
… Je pense à vous que j’ai connu et qui m’avez émue,
on a passé de bons moments vous vous souveniez de moi
quand je venais pour vous aider à vous faire belle
on chantait, on riait, vous étiez coquine mais que vous étiez belle
la maladie depuis 15 ans ne vous avait pas épargné je me souviens
votre mémoire s’en allait de jour en jour
parfois vous disiez : alala quelle tête et votre sourire m’attendrissait
mais malgré tout j’avais de la peine …
D’autres jours je vous grondais car vous faisiez des bétises
et vous m’envoyiez sur les roses … mais peu après vous étiez là
à me regarder sans me regarder et là je vous tendais la main
et vous me donniez la vôtre toute amaigrie et si belle avec votre
alliance, ha oui cette alliance qui vous disait que vous étiez mariée
mais avec qui ? lui là-bas en me montrant du doigt votre époux
si courageux de vous garder à la maison malgré le danger de
tourner la tête et ne plus vous trouvez car vous étiez partie
enfuie dehors sur la route, il s’affolait il vous cherchait et
enfin vous retrouvait… Quel homme !…
C’était qui déjà ?…
ha ! oui c’était votre mari qui un jour avec beaucoup de chagrin
a été obligé de vous placer en maison de retraite spécialisée
Moi je sais qu’il a tout fait pour vous garder mais la maladie
a empiré et il a fallu plusss que son amour pour vous aider
ce qu’il redoutait … et qu’il repoussait au lendemain qui
devenait de plus en plus difficile à gérer,
Je pense à vous car il y a quelques jours
je vous ai vu au bras d’une personne de la maison où vous êtes
et çà m’a fait … quelque chose…
J’ai alors vu votre
sourire, beauté, repos, paix
Je pense à vous toujours et je pense encore…
Hélène
Je ne sais pas ce que je fais dans ce monde
alors que je serais si bien dans un autre
Un monde où on ne réfléchit pas
où on pourrait se reposer à tout jamais, dormir
C’est çà… dormir et ne plus réfléchir ce que sera demain
Ne pas avoir de système qui nous fait penser sans arrêt
sans arrêt non-stop, le repos complet…
Pas de conflits, pas de douleurs pas de regrets
Parfois c’est dur de vivre avec tout çà dans la tête
C’est très dur de voir le malheur des autres et ne pouvoir
qu’écrire ce que l’on ressent,
Si je pouvais…
Un jour il y a très longtemps…
je me suis dit qu’il était quelqu’un de bien,
Beaucoup de lunes ont passé…
et je me demande si je n’avais pas rêvé …
